OTH 15 Years Shoe Wall

Les sneakers  et OTH, c'est comme les biscuits au chocolat et le lait: ils existent ensemble, et l'un sans l'autre n'est pas pareil. Les sneakers sont une partie intégrale de la culture dans laquelle OTH s'est fondée, et, avec le temps, ils sont devenus une partie intégrale de la boutique. La plupart de nos employés en ont long à dire à propos des sneakers, que le sujet soit leur paire favorite, ou le rôle qu'ils ont joués dans leur développement de style personnel. Ils ont aussi joués un rôle important dans la croissance de OTH; notre amour des baskets nous a propulsé vers les divers collaborations qu'on a eu la chance de faire. Sérieusement, c'est presque impossible d'être hyperbolique tant qu'à l'importance des sneakers et l'identité d'OTH.

Le mur à souliers, qui est maintenant impossible à séparer de l'idée de la boutique, a fait ses débuts en 2003, lorsque Harry et Angelo ont décidés de faire quelques rénovations à la boutique. Dans le temps, le magasin occupait beaucoup moins d'espace; la boutique Vans, au troisième étage, n'existait pas encore, et l'espace où les cabines et les manteaux sont aujourd'hui était caché par un mur. C'est derrière ce mur où le bureau était situé. Si OTH a commencé comme un "one-stop hip-hop shop", comme on dit en bon français, la boutique au Centre-Ville était un one stop shop pour les gars, avec le bureau et la boutique dans le même espace. Bien sur, le magasin a aussi servi, de temps en temps, comme une chambre à coucher après des soirées où les gars restaient tard pour s'occuper des affaires de la boutique. 

2003 a vu du changement, par contre. Le mur qui séparait le bureau de la boutique a reçu un facelift et les planchers en bois ont été installés, tout avec le but de changer le look d'OTH petit à petit. Harry et Angelo ont alors décidé de dédié le nouvel espace au sneakers, qui devenaient, de plus en plus, un aspect important d'OTH. Mais, ils voulaient faire de quoi qui était différent des autres magasins. 

Alors, ils ont fait recours à leurs pères pour leur aider avec un projet: refaire le mur et créer des tablettes construites dans le mur, pour ainsi créer un mur 3-D, sur laquelle les souliers seraient étalés. Passez dans la plupart des boutiques de ces jours-ci, et vous y trouverez des murs similaires; mais, en 2003, ça n'était pas le cas. C'était encore une autre façon que Harry et Angelo avaient trouvé pour différencier OTH des autres magasins. 

OTH 15 Years Shoe Wall

Les paires qui figuraient sur ce premier mur à souliers rendront les sneaker heads à se sentir nostalgique. Quelques unes des marque que nous avons à la boutique aujourd'hui étaient présents en 2003; c'est sur que vous aviez pu prendre les Puma et les Nike que vous cherchiez chez OTH. On pouvait même y trouver les Nike SBs avec les grosses languettes et les lacets épais qui dominaient le monde des sneakers en 2003. Les Nike SBs étaient pour 2003 ce que Jordan est aujourd'hui. 

Il y avait aussi des paires que seulement les sneaker heads vétérans s'en souviendront, mais ils s'en souviendront avec beaucoup d'émotion: Spath, Gravis, et Pony. Dans le temps, c'étaient quelques unes des marques les plus populaires. Aujourd'hui, on est habitué de voir des designs minimalistes, mais, en 2003, c'était des sneakers drôlement gros, colorés, et avec beaucoup de petits détails qui dominaient. 

La beauté du mur à souliers chez OTH, c'est que ça donne un espace unique au sneaker heads. C'est vraiment plus comme un sanctuaire de baskets. Depuis 2003, c'est un espace qui appartient uniquement au souliers. Un espace qui fait en sorte que les souliers sont vus comme étant les affaires les plus importants au monde. C'est pour ça que les sneakers jouent un rôle si intégrale dans l'identité d'OTH. Donc, cette semaine lorsque vous êtes à la boutique pour voir une des nombreuses paires qui sortent bientôt (plus sur ça dans quelques jours), vous allez pouvoir sourire un peu, en sachant comment le mur a évolué depuis 2003, lorsque Angelo, Harry, et leurs pères, ont pris un mur à l'arrière du magasin et l'ont transformé en sanctuaire pour les sneakers.

OTH 15 Years Shoe Wall
OTH 15 Years Shoe Wall

Sneakers and Off The Hook go together like peanut butter and jelly: they're an integral part of the culture that the shop has rooted itself in and, as a result, they've become an integral part of the shop itself. Most of the staff can wax poetic about their favourite sneakers and the role sneakers have played in their lifestyle. Sneakers have also played a big role in Off The Hook's growth, with our love for shoes having given us the opportunity to collaborate with a number of footwear brands. Seriously, it's hard to overstate how important sneakers are to Off The Hook's identity.

The foundations for the shoe wall that is so synonymous with Off The Hook today first appeared in 2003, when Harry and Angelo decided that some minor renovations were needed at the shop. Back then, the store was much, much smaller than it is today; the Vans space on the third floor didn't exist yet and the area where the changing cabins are was actually the office space where the guys ran the shop from. If Off The Hook started as a one-stop hip-hop shop, the downtown location was a one stop shop for Harry and Angelo, with the office and the store in the same space. It also occasionally served as a place where the guys would crash after a late night of work.

2003 saw change, though, as the wall that separated the store from the office space and the stockroom was given a facelift  and the wood floors were put in. All of that in an effort to spruce up the shop. Harry and Angelo decided to dedicate the new space at the back to shoes, which was becoming a growing part of Off The Hook's identity. They wanted it to be different though. 

They called up their dads and asked them to help them out with a project: to redo the wall and cube out shelves for the shoes, creating the appearance of a wall with sunken shelves upon which the shoes would sit. Visit most sneaker boutiques nowadays and you'll probably see a similar set up. In 2003, that wasn't the case, though. It was another way in which Harry and Angelo were making Off The Hook different. 

OTH 15 Years Shoe Wall

The shoes that lined the hallowed shelves will make sneaker heads feel nostalgic. Some of the sneaker brands we carry today were in the shop, way, way back in 2003; even back then, you could get your Puma and your Nike at the shop. You could even cop those Nike SBs with the fat tongues and thick laces that were to 2003 what Jordans are to today. 

There were also the shoes that only the sneaker heads from back in the day will remember, though they'll remember them fondly: Ipath, Gravis, and Pony. Back then, they were some of the hottest sneakers in the game. 2014 may be about minimalist and sleek silhouettes, but 2003 was definitely about boxy, cartoonishly large sneakers with bells, whistles, and lots of colour. 

The beauty with the shoe wall at Off The Hook is that it's always been somewhat of a sanctuary for sneaker heads. Since 2003, it's had a space of it's own, and a set up that allows shoes to seem otherworldly. We've literally been putting sneakers on a pedestal for over a decade. Since then, footwear has become an increasingly important part of Off The Hook's identity.  So, when you're at the shop this week checking out one of the many new pairs dropping (more on that in a few days though), you can smile a bit, knowing how far the shoe wall has come since 2003, when Harry, Angelo, and their dads holed out a wall at the back of the shop to let the shoes shine. 

OTH 15 Years Shoe Wall
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Ippudo Engineered Garments OTH

Ippudo est un des meilleurs restaurants de ramen à New York, qui depuis 2008, essaye de redéfinir comment les New Yorkais voient le met traditionnel asiatique. Avec l'énorme succès qu'Ippudo connait, le restaurant a décidé de créer un uniforme qui lui serait unique. 

Ippudo Engineered Garments OTH
Ippudo Engineered Garments OTH

Le chef d'opérations du restaurant, Yusuke Nakamura, s'est donc tourné vers Engineered Garments et Daiki Suzuki, le designer derrière la marque new yorkaise qui vient d'arriver chez OTH cette saison. Nakamura et Suzuki se sont rencontrés plusieurs fois pour trouver des designs qui fonctionneraient dans une cuisine.

Les résultats sont un tablier et un veston de travail, créés avec une toile légère, et des trous de ventilation sous les bras, pour permettre au cuisiniers d'être confortables lorsqu'ils sont au restaurant. De plus, comme chaque pièce créée par Engineered Garments, l'uniforme est fait à New York, dans la manufacture de Engineered Garments.

Toutes photos grâce à First We Feast et Justin Chung, qui ont photographier l'équipe d'Ippudo dans leurs nouveaux uniformes.

Ippudo Engineered Garments OTH
Ippudo Engineered Garments OTH

Ippudo is one of New York's finest ramen establishments. Since 2008, it has sought to redefine how New Yorkers have seen the traditional Asian dish. With the enormous success that Ippudo has had, the restaurant decided to create a uniform that would be unique to its hallowed kitchens. 

Ippudo Engineered Garments OTH
Ippudo Engineered Garments OTH

Yusuke Nakamura, the restaurant's Chief of Operations, turned to Daiki Suzuki, the man behind Engineered Garments, the New York-based brand that arrived for the first time at OTH this season. Nakamura and Suzki sat down together a number of times to hammer out the details and designs that would work within a kitchen setting.

The result is a two-piece uniform based around a tablier and a work jacket, created with lightweight twill fabric and ventilation under the arms, that allows staff to be comfortable when they're in the kitchen. Like every piece created by Suzuki and Engineered Garments, the uniforms are made in the Engineered Garments atelier in New York's Garment District.

All photos courtesy of First We Feast and Justin Chung, who took initiative and shot the Ippudo staff in their new uniforms.

Ippudo Engineered Garments OTH
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Vans OTH OG Style 36 STV Blue

Les plus récents modèles de la collection Vault par Vans viennent d'arriver à la boutique. Le Sk8-Hi Reissue Zip LX et le OG Style 36 LX sont les deux modèles au coeur de la collection.

Le OG Style 36 LX, un des styles classiques Vans autour desquels le project Vault est basé, se voit décliné en trois coloris, soit le STV Blue, le Turtledove, et le Coffeebean. Chaque paire est construite en cuir et en nubuck, et posée sur les semelles gaufres pour lesquels Vans est fameux.  

Vans OTH OG Style 36 Turtledove
Vans OTH OG Style 36 Coffeebean

Les Sk8-Hi Reissue Zip LX, tant qu'à eux, sont offerts en deux couleurs, soit le Turtledove et l'Andorra. Tout comme les OG Style 36 LX, les deux paires de Sk8-Hi Reissue Zip LX sont construites avec du cuir et du nubuck tonal, créant un look idéal pour l'automne et le début de l'hiver. Les Sk8-Hi se mettent facilement sur pieds, grâce à la fermeture éclaire à l'arrière du modèle. 

Les trois paires de OG Style 36 LX, ainsi que les deux paires de Sk8-Hi Reissue Zip LX, sont désormais disponibles à la boutique et en ligne

Vans OTH Sk8-Hi Zip LX Turtledove
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The most recent release from the Vault by Vans collection has just arrived at shop, featuring the OG Style 36 LX and the Sk8-Hi Reissue Zip LX. 

The OG Style 36 LX, one of the classic silhouettes around which the Vault program is based, is offered in three colourways: STV Blue, Turtledove, and Coffeebean. Each pair is built using premium leather and nubuck, and sits atop the waffle sole that has become synonymous with the California-based footwear company. 

As for the Sk8-Hi Reissue Zip LX, it is available in two colouways: Turtledove and Andorra. Like the OG Style 36 LX, the Sk8-Hi Reissue Zip LX is built atop a waffle sole, using tonal leather and nubuck, creating an ideal fall and early-winter look. This particular Sk8-Hi silhouette also features a zipper at the back of the shoe, making it as easy as possible to quickly change in and out of your shoes. 

Both colourways of the Sk8-Hi Reissue Zip LX, as well as the three colourways of the OG Style 36 LX, are now available at the shop and online.

Vans OTH Sk8-Hi Zip Sole
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Ladies and gentleman, meet Pic Paquette. His new album entitled "Paquette Ville" explains why he reigns far superior to every other rapper in the scene, and why you'll most likely be voting for him in the next provincial elections. Do you catch his drift?

You can peep the rest of his new album HERE

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OTH Burton Thirteen

Burton s'est taillé une belle niche dans la communauté internationale de planche à neiges; la marque américaine, basée à Burlington, au Vermont, a l'honneur d'être la plus grande marque liée à ce sport d'hiver, ainsi que le propriétaire de la première manufacture de planches au monde.

Cette saison, Burton vise a se tailler une place dans le monde de la mode, faisant équipe avec Yosuke Aizawa, qui a travaillé chez COMME des GARÇONS avant de fonder White Mountaineering et THIRTEEN WORKS INC, pour créer une collection intitulé Burton Thirteen.

OTH Burton Thirteen

La collection est basée sur un nombre de morceaux classiques de la marque américaine, dont des manteaux et des pantalons de neiges, qui se voient ré-imaginés par Aizawa d'une façon qui sera familière à ceux qui sont fans de son travail chez White Mountaineering. 

Pour marquer l'arrivée au Canada de Burton Thirteen, OTH a créé un espace dédié entièrement à la collection exclusive. Inspiré du lancement japonais de la collection, l'espace Burton Thirteen met en vedette un tee-pee construit avec une toile ayant un imprimé identique à celui utilisé par Aizawa et Burton. 

La collection Burton Thirteen est désormais disponible à la boutique, ainsi qu'en ligne.

OTH Burton Thirteen
OTH Burton Thirteen
OTH Burton Thirteen
OTH Burton Thirteen

Burton has carved itself an important place in the snowboarding community; The Burlington, Vermont company has the honour of calling itself the world's biggest snowboard brand and the creator of the world's first snowboard factory.

This season, though, they have pushed further into the fashion realm, teaming up with Yosuke Aizawa -- who worked at COMME des GARÇONS, before founding White Mountaineering and THIRTEEN WORKS INC -- to create a capsule collection titled Burton Thirteen.

OTH Burton Thirteen

The collection features a number of Burton staples, including winter jackets and snow pants, reimagined by Aizawa in a way that won't be unfamiliar to those who are fans of his work with White Mountaineering. 

To celebrate the arrival of Burton Thirteen in Canada, Off The Hook has created a pop-up shop within the store, dedicated entirely to the exclusive collection. The space is inspired by the Japanese launch of the collection and is built around a tee-pee constructed using fabric that features the same print used by Aizawa and Burton.

The Burton Thirteen collection is now available at the shop, and online.

OTH Burton Thirteen
JFK OTH

Pour ceux qui ne le savent pas déjà, Johnny est une des personnes les plus importantes chez OTH. C'est notre chef d'opérations. Quand il n'est pas en train de gérer le jour à jour de la boutique, il écrit pour The Hundreds... et il a sa propre marque.... et il est cinéaste. Johnny est un des gars le plus intéressant et génial que tu pourrais avoir le plaisir de connaître. On s'est assis avec lui pour parler de ses divers projets, et du cheminement qu'il a fait dans le domaine créatif. Vous pouvez aussi lire son plus récent article sur The Hundreds, ainsi que voir ces réalisations cinématographiques! 


Depuis combien de temps travailles-tu chez OTH?
Ça fait environ 7 ans que je suis là, incluant l'année que j'ai pris en congé. 

Une journée typique pour toi, ça consiste en quoi, exactement?
Comme chef d'opérations, je m'occupe du Starship Enterprise. Dans le fond je m'assure que tout fonctionne bien, et que tout est complété dans un délai assez raisonnable.

Quels sont les projets que tu entreprends à l'extérieur de OTH?
Où commencer? Je suis toujours en train de travailler sur quelque chose. C'est pas nécessairement un projet mais il y a toujours un vidéo à faire ou à concevoir, ou sinon il y a du travail à faire pour Petite-Patrie, ma marque. Si jamais j'ai vraiment rien à faire, je fais une production d'une dizaine de t-shirts sous une marque qui n'existe même pas. Juste pour rigoler.

J'aime prendre les choses une à la fois. J'ai eu la chance d'apprendre plusieurs façons d'être créatif, donc je facilement choisir les projets que je veux entreprendre.

Que fais-tu pour te déconnecter du travail?
Je ne considère pas vraiment les projets que j'entame comme du travail, donc la plupart du temps je m'amuse déjà en "travaillant". À la fin de la journée, c'est ce qui compte le plus pour moi. Rester en forme c'est quand même un passe-temps important, par contre.

Cela dit, je joue souvent au jeux vidéos. Ça m'aide à me déconnecter du travail si jamais j'en ai besoin. GTA V sort bientôt, donc je crois que je vais passer l'hiver à Los Santos en train de de faire des drive bys, (rires).

C'est quoi ta passion, si tu devais en choisir une?
L'expérience que j'ai acquise depuis que j'ai commencé à travailler dans le domaine m'a fait apprécier la mode et le détail de plus en plus. J'ai pu comprendre les politiques d'arrière-plan et l'immense effort dédié au branding par les différentes marques. En sept ans, j'ai vu des marques grandir et évoluer, et j'en ai vu d'autres disparaître. Avec le temps, j'ai vu ce qui marchait pour la boutique et ce qui ne marchait pas. Tout cela me motive à faire un peu mieux à chaque jour, et ça me garde occupé aussi. J'adore ma job, je ne peux pas me plaindre.

Comment est-ce que SHOT BY JFK a commencé?
SHOT BY JFK a commencé environ un an après que j'ai commencé à travailler chez OTH. Un de mes a amis m'a convaincu de recommencer à faire de la vidéo. Il m'a appris énormément sur non seulement l'aspect technique de la cinématographie, mais aussi sur le côté esthétique. Merci JP!

Quand j'ai recommencé à filmer, c'était le début de l'ère DSLR. Donc c'était super facile de me trouver une caméra et d'aller filmer tout ce que je pouvait pour me perfectionner au fur et à mesure. J'ai commencé en documentant les petits trucs de tout les jours, ensuite je suis passé au portraits, et maintenant je fais de la mise-en-scène pour des vidéos.

Le nom SHOT BY JFK est juste un petit jeu de mots avec mes initiales et l'assassinat de J.F.K.

C'est quoi le projet le plus mémorable sur lequel t'as pu travailler?
Probablement quand j'ai eu la chance de faire une entrevue avec RZA à Berlin. C'était de pure chance pour être complètement honnête. J'étais en Allemagne pour Bread and Butter et j'ai croisé Pete, de Highsnobiety. Il avait besoin de quelqu'un pour filmer l'entrevue à la dernière minute. Bien sur j'ai dit oui. La journée de l'entrevue, il a été pris dans le traffic, donc j'ai du improviser le tout. J'étais un peu nerveux. Mais c'est quand même RZA! C'est pas à chaque jour qu'on a la chance de s'asseoir tout seule avec RZA pendant 30 minutes pour lui poser des questions. (rires)

Sur ce point là, comment as-tu pu travailler avec The Hundreds?
C'est grâce à Angelo, Graeme et Gary de Take Five Trading. Ils m'ont ouverts la porte et j'ai couru à travers.

J'ai toujours été un admirateur de ce que The Hundreds fait. J'ai un respect immense pour leur philosophie et leur idéologie. Les gens devraient apprendre à être aussi ouverts et honnête que eux. Pour moi, c'est plutôt une marque culturelle et non une marque de streetwear. Depuis le début ils ont réussi à maintenir leur image et ce sont rendus accessibles. Bobby et Ben, c'est des gars normales qui, par chance, font des trucs super cools. Même si tu ne portes pas leur vêtements, c'est dur ne pas apprécier ce qu'ils font.

Tout de même, je n'aurais jamais cru qu'un jour je ferais parti de leur monde. C'est vraiment un privilège pour moi d'avoir une plateforme ou je peux m'exprimer sur les choses que j'aime. Écrire pour The Hundreds, c'est un peu comme écrire pour la Gazette, parce qu'ils veulent que je prenne une approche plus journalistique. Il y a beaucoup de recherche à faire pour formuler les questions avant de m'asseoir avec quelqu'un. Jusqu'à présent, c'est super et je crois qu'ils aiment ce que je leur offre! Merci, Alina!

Depuis combien de temps écris-tu?
Depuis la maternelle. Au début, j'avais un peu de misère avec les lettres, mais avec le temps, je me suis améliorer peu à peu. (rires)

Sérieusement, j'avais un site, Derived Thread, il y a 4 ou 5 ans. J'écrivais tout seul au début. J'écrivais sur différentes marques, sur les choses que j'aimais, les choses que j'aimais moins, sur Montréal, et je faisais aussi des entrevues. Dans le fond, c'était ce que je ne pouvais pas mettre sur OTH. (rires)

Après un an, j'ai rajouté 4 ou 5 gars à l'équipe. Pour la plupart, c'était du monde que je connaissait grâce à la boutique et qui avait la approche que moi. Travailler sur ce site m'a aidé à améliorer mon écriture, parce que je cherchais toujours à écrire sur des trucs que les autres blogues ignoraient. Je voulais prendre une approche un peu plus approfondi. 

As-tu d'autres projets sur l'horizon?
Ouais, en fait je suis en train d'écrire mon premier court-métrage. C'est dur, parce que j'ai découvert que je suis un perfectionniste. (rires) J'ai une idée en tête, mais j'ai pas vraiment commencé. Ça viendra et ça sera super. 

Si quelqu'un voulais faire de quoi créatif dans la vie, que leur dirais-tu?
Comme Nike le dit si bien: Just Do It.

Fait le passionnément et reste humble quand tu connais du succès. Fais ce que tu fais pour toi-même, et seulement toi-même. Ne perds pas ton temps avec ce que les autres vont penser. N'hésite pas et donnes-toi pas de titre. Tout cela viendra après. Le plus important, pour moi, c'est de trouver ses propres idées. Ne vole jamais les idées ou les projets des autres. Soit créatif!

For those who don't already know, Johnny is one of the integral pieces of the Off The Hook team. As Chief of Operations, he makes sure that the shop runs smoothly from day-to-day. When he's not at the shop, he also contributes to The Hundreds... and runs his own brand... and directs movies. Johnny's one of those guys that always has a project up his sleeve. He's also one of the nicest and more interesting guys you'll have the pleasure of meeting. We sat down with him to discuss his many projects and how he's gotten to the point he's at today. You can also check out his latest piece for The Hundreds, as well as the short films he's produced

How long have you been at Off The Hook?
About 7 years now, including my 1 year hiatus.

What does a typical day consist of for you?
As Operations Manager, I make sure that the Starship Enterprise runs smoothly and that Captain Kirk and Spock aren't on my case. Pretty much, get shit done, and fast. Then it's on to the next one. Beam me up Scotty!

What are your side projects, hobbies, passions? If I wanted to be Johnny Kim, what would I have to do?
Where do I start (laughs). I always have something in the works; not necessarily projets, but there's either a video to shoot or direct, or I'm working on my brand Petite-Patrie, or I'll make a run of a few dozen t-shirt designs under a fake brand just for jokes.

I just take things as they come. I've had the chance to learn many ways to be creative that I can easily pick and choose what projects I want to work on.

As far as hobbies go, I call whatever project I'm working on a hobby. Most of the time I do it for fun and, for me, that's what really matters.

Staying in shape is also an important hobby (laughs).

But I do play a lot of video games to help me disconnect from everything. GTA V is coming out on PS4, so my hobby is gonna be killing people and doing driveways in Los Santos in the first person, all winter (laughs).

But seriously, I think the experience I've gained since I started working in this industry has made me love the real and fashion business more. Understanding the back end politics and all the branding that goes on behind the scenes. Seeing new brands develop and trends that come and go, dealing with numbers or seeing what works and doesn't work for the shop. All of those things help me keep busy, but they also motivate me to be better. I do love my job and I can't complain about anything.

How did SHOT BY JFK start? 
SHOT BY JFK started maybe a year or two after I had started working at Off The Hook.

A friend of mine got me back into filming and making videos back then. He taught me a lot on the technical side, but he also helped me discover the aesthetic aspect. He helped me experiment a lot with the camera. So thanks, JP!

But, when I started filming, it was the beginning of the DSLR video era. So it was easy for me to get a camera and just go shoot anything and learn as I went. I started by documenting everyday life, then made small portraits and now, I'm directing videos.

But I'm still in the process of learning everyday.

The name itself is a play on my initials and the JFK assassination. I just flipped it.

The most memorable moment was probably when I interviewed the RZA in Berlin. It was pure luck to be honest. I was there for Bread and Butter and I bumped into Pete from Highsnobiety. He needed someone to film the interview at the very last minute. On the day of the interview, he got stuck in traffic and wasn't able to make it on time. So pretty much, I had to improvise the whole thing. I was a bit nervous at first, I won't lie. Come, it's not everyday that you get stuck in a white room with the RZA for 30 minutes, asking him questions (laughs). Good times.

Building on that, how did you start contributing for The Hundreds?
Thanks to Angelo, Graeme and Gary from Take Five Trading. They built that bridge for me and I crossed it.

But, I've always been a fan of the Hundreds since the beginning. I respect the brand's philosophy and ideology. People should learn to be as open as The Hundreds. To me, they're more of a cultural brand than a streetwear brand. Since day one, they've maintained their image and made themselves (Bobby and Ben) accessible. They're regular dudes that happen to do cool things.

Even if you don't wear their clothes, you can't really hate on them. Before the industry became what it is today, The Hundreds was there; they played an important role in all of it.

But, I would've never thought that one day I would somehow be a part of their world. It's really a privilege that they give me a platform to speak about the things I like. Writing for them feels like writing for the Gazette. They want me to have a more journalistic approach. I do my research and build my questions accordingly.

It's really fun and I think they've been enjoying my write ups. Thanks Alina!

How long have you been writing?
Since kindergarten really. The first few years I had a hard time making my letters, but as the years went by I got better at writing out the alphabet (laughs).

I used to run a site called Derived Thread like 4-5 years ago. It was actually up for a good three years. I used to write alone at first; about brands, the things I like and hated, Montreal street culture, some interviews. It was basically the things I wasn't allowed to post on OTH (laughs).

Then, a year after, I added a crew of about 4-5 guys. It was mostly friends that I made around the shop and that had the same state of mind as me. That site helped me progress as a writer, because I was always looking to talk about the things no one talked about on the other blogs. I wanted to get a more insightful interview, than a broad approach.

Reading a lot also helps.

Any other projects on the horizon?
I'm actually trying to write my first short film. It's hard though, because I'm a perfectionist with every aspect. I have the idea down, but I haven't really started yet. It'll come though, and it'll be a great film.

ny advice for people who want to do creative in their careers?
Nike says it best: Just Do It.

Do it with passion and be humble about it. Don't let anything get to your head and never doubt yourself. Do it for you, only you and don't care about what others think. Don't half step. Don't become pretentious. Don't give yourself a title. And, most importantly, don't steal other people's designs and projects. Come up with your own ideas. Be creative. Ideas come and go.

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15 Years On The Usual Route

On s'était laissé au mois d'octobre 1999 à Brossard, où Harry venait tout juste d'ouvrir Off The Hook pour la première fois. Angelo était en Grèce à ce point, mais il restait en contact avec Harry tout de même et surveillait de près le projet de son cousin. 

Même après la grande ouverture, la boutique a connu un énorme succès à Brossard. Le magasin était occupé et les clients adoraient la philosophie de ce nouveau magasin centré sur la culture hip-hop. Entre Harry, qui était jeune est qui connaissait bien la culture, et ses partenaires d'affaires, qui s'assuraient que OTH avait les bons contact dans le domaine du hip-hop, la boutique a rapidement été reconnue comme l'une des destinations pour les fans de hip-hop à Montréal.

Lorsque Angelo est rentré de Grèce, Harry et lui se sont mis à penser à la prochaine étape pour le magasin. Harry avait le centre-ville dans le sang; même s'il avait toujours vécu à la Rive-Sud. De plus, à cette époque la culture hip-hop était profondément associée aux environnements urbains et aux centre-villes des grandes métropoles que ça soit Montréal, New York, Chicago, ou Los Angeles. 

Les gars se sont mis à évaluer les plus et les moins d'une boutique au Centre-Ville. Serait-il possible d'ouvrir un autre magasin centré sur la culture hip-hop? Il ne faut pas oublier que City Styles et Sports Fever étaient déjà installés sur Ste-Catherine en 2000. Même avec cette réalité, Harry et Angelo n'ont pas pu résister de prendre ce que le Centre-Ville leur offrait. Ils possédaient déjà alors une clientèle qui leur était fidèle et ils avaient le support des partenaires originaux de Harry, soit Perry et Rickey D.

Lentement, l'idée a commencé à prendre forme. La boutique à Brossard resterait ouverte pour le moment, mais Harry et Angelo se concentreraient sur la croissance de leur nouvelle adresse au Centre-Ville. En observant les autres magasins sur la rue Ste-Catherine, ils ont rapidement compris qu'un effort spécial serait requis; être un commerce centré sur la culture hip-hop ne serait pas assez pour différencier OTH des autres. Alors ils ont pris la décision d'approcher directement quelques marques qui ne se trouvaient pas encore chez les concurrents.  

En faisant affaire aveceux, Harry et Angelo ont appris l'importance d'avoir une exclusivité sur une marque, ainsi que de ne pas avoir peur de faire les choses différemment des autres boutiques. À ce jour, c'est une leçon qu'ils n'ont pas oubliée. Alors, quelques mois avant l'ouverture du 1021 Ste-Catherine, les gars ont fait le parcours de 600km vers le sud pour visiter New York.

Après quelques jours de rencontres avec diverses marques, ils avaient conclu des ententes avec quelques unes des marques de hip-hop les plus importantes dans le domaine. Notamment, Wu Wear et Rocawear qui accepter de mettre leurs produits chez OTH. De plus, ils ont obtenu des ententes exclusives avec quelques unes des marques qu'ils avaient déjà à Broassard, dont Akademiks, PNB Nation et Triple Five Soul. Ces avec ces exclusivités que OTH était devenu un joueur important dans la culture hip-hop. 

Le party d'ouverture de la fin de semaine de la Fête de Dollard marque le début de l'époque OTH comme on le connait aujourd'hui.

D'ailleurs, les dernières semaines nous on permis de vous faire une brève introduction au projet d'exploration de nos archives que nous avons entamé. Au cours des prochains mois, on souhaite vous faire découvrir notre univers. 

15 Years On The Usual Route

We last left off when the shop was just taking root in Brossard, where Harry had first opened Off The Hook with two business partners. Angelo was in Greece at the time, but was still keeping track of how Harry's project was evolving. 

It wasn't just the store's grand opening that was met with enthusiasm; the store was busy, customers were loving the young hip-hop centred store. Between Harry being young and in touch with the culture and his business partners making sure that the store had all the right connections in the hip-hop world, Off The Hook was quickly becoming the destination for Montreal hip-hop fans.

When Angelo got back from Greece, he sat down with Harry and the two started brainstorming about what the next step could be. Harry had always been a downtown kid; even if he had always lived on the South Shore, he grew up downtown. Similarly, whether it was in Montreal, New York, Chicago or Los Angeles, hip-hop was synonymous with downtown, urban environments. Hip-hop implied tall buildings and concrete, that's where the term concrete jungle comes from. 

The pair decided to start looking into opening up downtown. Was it possible to open another shop built around hip-hop culture in downtown Montreal? After all, Ste-Catherine was already home to City Styles and Sports Fever, to name a few. It didn't take long for Harry and Angelo to decide that they were going to move downtown. Everything made sense. They had support and a strong client base and the allure of downtown was too strong to resist. 

Slowly they started putting the pieces of the puzzle together. The Brossard location would stay open for the time being, but they would focus on building the downtown location and establishing Off The Hook with those who hadn't yet ventured to the South Shore. Glancing up and down the street, they knew that being a hip-hop store wouldn't be enough to make them stand out. Instead, they decided to take a risk that paid immediate dividends and something that's shaped Off The Hook since: deal directly with brands that other stores weren't stocking.

The success that Harry and Angelo enjoyed by dealing directly with brands in 2000 helped train them to seek exclusivity with brands and to stay ahead of the curve. A little while before the shop was scheduled to open at 1021 Ste-Catherine Ouest, the guys hopped in the car and made the 600km trip south to New York City. 

After a few days of meetings with various brands, they had secured deals directly with some of the premier hip-hop lifestyle brands at the time, including with some of the brands they had previously dealt with through a middleman. Akademiks, PNB Nation and Triple Five Soul, who were already at the Brossard shop, agreed to have their product at the downtown location. The trip to the Big Apple also netted Harry and Angelo the likes of Wu Wear and Rocawear. That was big time. 

The grand opening party on Victoria Day weekend of 2000 marks the beginning of Off The Hook as we know it today. The last few weeks have been an introduction to how the store came to be and how we installed ourselves downtown. Over the next few months, we're hoping to take you on a journey that lets you discover Off The Hook in all its glory. 

15 Years On The Usual Route
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Toddy and Jojo Flores

The story behind Griffintown's newest establishment is simple. Two of the hardest working brothers out there, Jojo and Toddy Flores, alongside Julian Somera and David Pendon set out to accomplish a vision of making Filipino meals more available to the Montreal public, and that's just what they did. Flavors from the motherland of the Philippines are layered down on the table to ensure that your experience at Junior is as satisfactory as being in south east Asia. 

As soon as you sit down, you immediately notice the array of the condiments on the table which, as we found out, take the meal to a whole other level. The musical ambiance makes you feel at ease in a fast paced, busy, little spot -- you won't be hearing your everyday radio hits in here. After all, two of Montreal's most active DJs are behind it! Filippino cuisine is influenced by it's past heavily. Many cultures blend in to make what is known as Pinoy cuisine, making a melting pot of various flavors and techniques to give you a truly unique approach to a meal.

After trying pretty much the whole menu, we noticed that we hadn't said much to each other other than asking to pass a sauce or thanking the waiter for dropping us off a new dish faster than we could finish the previous one, always a sign of a good meal. Everything was spot on and left us wondering when the next time we returned would be. Our table came to a pretty unanimous decision that the chicken Adobo took home the first place dish. That dish consists of braised chicken in a coconut sauce, which took me back to south east Asia in a heartbeat. It was a tough call because everything else tied for a close 2nd.  The fish, the fried pork and pork Adobo, the noodle dish and greens were all amazing. Not to mention, Toddy graciously told our table that the menu is on the rise and will be getting some new additions shortly.

Since this spot is only open in the evenings, the kitchen crew spends their day's preparing every element so that your food can be made for you upon order and delivered to your table in the time you want it to take. I think what I liked most is that Jojo and Toddy took our orders. Not only did they take the time to explain to us every item and make recommendations, they took the time to hear us out and get our feedback, which is beyond crucial for a new restaurant. You're always looking to improve, which means you gotta keep your ear to the street! The drink menu is also very on point and filled with craft beers. Toddy recommended the house pilsner, which was awesome and locally brewed.

All in all, they came, they saw, they conquered. And it shows...

A vision and some hard work really does pays off. Junior Filipino is here to stay. Don't just check it out, dive in to it! It's the most satisfaction you will get out of trying something that is probably new to you, as it was to us. They're open Wednesday and Thursday from 17:30 to 23:00, Friday and Saturday until 00:00. You can even expect a DJ set or two over the weekend. Check out their FB page for future announcements and surprises.

Vans Billykirk OTH

Le designer de Vans Vault, Taka Hayashi, a fait équipe avec Billykirk pour créer un sac à main extrêmement limité pour cette saison Automne/Hiver 2014. 

Les sacs sont recouverts d'un imprimé de palmiers blanc, dans le style classique de Taka, qui contraste la toile beige utilisée par Billykirk. L'intérieur du sac est décliné dans le même matériel que les Slip-Ons Chimayo offerts plus tôt cette année par Vans Vault, créant un look amérindien qui sera familier à ceux qui sont admirateurs du travail de Taka. 

De plus, comme touts les sacs Billykirk, la collection est entièrement fait à la main aux État-Unis avec du cuire premium et une toile de haute qualité. Le bas du sac, ainsi que les fermetures et la poignée, sont construits en cuire naturel, qui vieillira bien avec le temps. 

La collection Vans Vault x Billykirk a été produit en quantité extrêmement limitée. Passez en magasin dès aujourd'hui pour voir le sac en personne. 

Vans Billykirk OTH
Vans Billykirk OTH

Vans Vault's lead designer Taka Hayashi has joined forces with Billykirk to produce an extremely limited duffel bag for Fall Winter 2014.

The Taka-designed bags feature all-over white palm print contrasting the tan canvas, as well as an interior made from the same material as his Chimayo slip-ons from earlier in the year. Furthermore, like all Billykirk goods, the duffel bags are hand-crafted in the United States, using high-quality leather and canvas. The bag's base, handle and buckle straps are all made of beautiful, natural leather that ages beautifully with time. 

The Vans Vault x Billykirk collaboration was made available in extremely limited quantities, at very select retailers across the world. Stop by the shop today to check it out.

Vans Billykirk OTH
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LBIFBACK vient de mettre en ligne une revue vidéo de sa paire de Vans OTH Varsity Pack Authentic LX. Regardez-le en bas de page!


LBIFBACK has just posted a video review of the Vans OTH Varsity Pack Authentic LX. Check it out below!

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