Les sneakers et OTH, c'est comme les biscuits au chocolat et le lait: ils existent ensemble, et l'un sans l'autre n'est pas pareil. Les sneakers sont une partie intégrale de la culture dans laquelle OTH s'est fondée, et, avec le temps, ils sont devenus une partie intégrale de la boutique. La plupart de nos employés en ont long à dire à propos des sneakers, que le sujet soit leur paire favorite, ou le rôle qu'ils ont joués dans leur développement de style personnel. Ils ont aussi joués un rôle important dans la croissance de OTH; notre amour des baskets nous a propulsé vers les divers collaborations qu'on a eu la chance de faire. Sérieusement, c'est presque impossible d'être hyperbolique tant qu'à l'importance des sneakers et l'identité d'OTH.
Le mur à souliers, qui est maintenant impossible à séparer de l'idée de la boutique, a fait ses débuts en 2003, lorsque Harry et Angelo ont décidés de faire quelques rénovations à la boutique. Dans le temps, le magasin occupait beaucoup moins d'espace; la boutique Vans, au troisième étage, n'existait pas encore, et l'espace où les cabines et les manteaux sont aujourd'hui était caché par un mur. C'est derrière ce mur où le bureau était situé. Si OTH a commencé comme un "one-stop hip-hop shop", comme on dit en bon français, la boutique au Centre-Ville était un one stop shop pour les gars, avec le bureau et la boutique dans le même espace. Bien sur, le magasin a aussi servi, de temps en temps, comme une chambre à coucher après des soirées où les gars restaient tard pour s'occuper des affaires de la boutique.
2003 a vu du changement, par contre. Le mur qui séparait le bureau de la boutique a reçu un facelift et les planchers en bois ont été installés, tout avec le but de changer le look d'OTH petit à petit. Harry et Angelo ont alors décidé de dédié le nouvel espace au sneakers, qui devenaient, de plus en plus, un aspect important d'OTH. Mais, ils voulaient faire de quoi qui était différent des autres magasins.
Alors, ils ont fait recours à leurs pères pour leur aider avec un projet: refaire le mur et créer des tablettes construites dans le mur, pour ainsi créer un mur 3-D, sur laquelle les souliers seraient étalés. Passez dans la plupart des boutiques de ces jours-ci, et vous y trouverez des murs similaires; mais, en 2003, ça n'était pas le cas. C'était encore une autre façon que Harry et Angelo avaient trouvé pour différencier OTH des autres magasins.
Les paires qui figuraient sur ce premier mur à souliers rendront les sneaker heads à se sentir nostalgique. Quelques unes des marque que nous avons à la boutique aujourd'hui étaient présents en 2003; c'est sur que vous aviez pu prendre les Puma et les Nike que vous cherchiez chez OTH. On pouvait même y trouver les Nike SBs avec les grosses languettes et les lacets épais qui dominaient le monde des sneakers en 2003. Les Nike SBs étaient pour 2003 ce que Jordan est aujourd'hui.
Il y avait aussi des paires que seulement les sneaker heads vétérans s'en souviendront, mais ils s'en souviendront avec beaucoup d'émotion: Spath, Gravis, et Pony. Dans le temps, c'étaient quelques unes des marques les plus populaires. Aujourd'hui, on est habitué de voir des designs minimalistes, mais, en 2003, c'était des sneakers drôlement gros, colorés, et avec beaucoup de petits détails qui dominaient.
La beauté du mur à souliers chez OTH, c'est que ça donne un espace unique au sneaker heads. C'est vraiment plus comme un sanctuaire de baskets. Depuis 2003, c'est un espace qui appartient uniquement au souliers. Un espace qui fait en sorte que les souliers sont vus comme étant les affaires les plus importants au monde. C'est pour ça que les sneakers jouent un rôle si intégrale dans l'identité d'OTH. Donc, cette semaine lorsque vous êtes à la boutique pour voir une des nombreuses paires qui sortent bientôt (plus sur ça dans quelques jours), vous allez pouvoir sourire un peu, en sachant comment le mur a évolué depuis 2003, lorsque Angelo, Harry, et leurs pères, ont pris un mur à l'arrière du magasin et l'ont transformé en sanctuaire pour les sneakers.
Sneakers and Off The Hook go together like peanut butter and jelly: they're an integral part of the culture that the shop has rooted itself in and, as a result, they've become an integral part of the shop itself. Most of the staff can wax poetic about their favourite sneakers and the role sneakers have played in their lifestyle. Sneakers have also played a big role in Off The Hook's growth, with our love for shoes having given us the opportunity to collaborate with a number of footwear brands. Seriously, it's hard to overstate how important sneakers are to Off The Hook's identity.
The foundations for the shoe wall that is so synonymous with Off The Hook today first appeared in 2003, when Harry and Angelo decided that some minor renovations were needed at the shop. Back then, the store was much, much smaller than it is today; the Vans space on the third floor didn't exist yet and the area where the changing cabins are was actually the office space where the guys ran the shop from. If Off The Hook started as a one-stop hip-hop shop, the downtown location was a one stop shop for Harry and Angelo, with the office and the store in the same space. It also occasionally served as a place where the guys would crash after a late night of work.
2003 saw change, though, as the wall that separated the store from the office space and the stockroom was given a facelift and the wood floors were put in. All of that in an effort to spruce up the shop. Harry and Angelo decided to dedicate the new space at the back to shoes, which was becoming a growing part of Off The Hook's identity. They wanted it to be different though.
They called up their dads and asked them to help them out with a project: to redo the wall and cube out shelves for the shoes, creating the appearance of a wall with sunken shelves upon which the shoes would sit. Visit most sneaker boutiques nowadays and you'll probably see a similar set up. In 2003, that wasn't the case, though. It was another way in which Harry and Angelo were making Off The Hook different.
The shoes that lined the hallowed shelves will make sneaker heads feel nostalgic. Some of the sneaker brands we carry today were in the shop, way, way back in 2003; even back then, you could get your Puma and your Nike at the shop. You could even cop those Nike SBs with the fat tongues and thick laces that were to 2003 what Jordans are to today.
There were also the shoes that only the sneaker heads from back in the day will remember, though they'll remember them fondly: Ipath, Gravis, and Pony. Back then, they were some of the hottest sneakers in the game. 2014 may be about minimalist and sleek silhouettes, but 2003 was definitely about boxy, cartoonishly large sneakers with bells, whistles, and lots of colour.
The beauty with the shoe wall at Off The Hook is that it's always been somewhat of a sanctuary for sneaker heads. Since 2003, it's had a space of it's own, and a set up that allows shoes to seem otherworldly. We've literally been putting sneakers on a pedestal for over a decade. Since then, footwear has become an increasingly important part of Off The Hook's identity. So, when you're at the shop this week checking out one of the many new pairs dropping (more on that in a few days though), you can smile a bit, knowing how far the shoe wall has come since 2003, when Harry, Angelo, and their dads holed out a wall at the back of the shop to let the shoes shine.