Denzel Curry vient de lancer son plus récent vidéo, pour la chanson "Zone 3", qui figure sur son premier album Nostalgic 64. Le court-métrage a été réalisé par notre bon ami Jeremy Wirth et a été filmé dans le quartier natal de Denzel, Carol City (d'où vient le nom "Zone 3"). Jetez-y un coup d'oeil!


Denzel Curry just dropped the music video for his song "Zone 3", from his debut album Nostalgic 64. The video was directed by our good friend Jeremy Wirth and features Denzel in his hometown of Carol City, rapping about what growing up in "Zone 3" was like. Check it out below!

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Nous prenons un petite pause de la série 15 Years On The Usual Route jusqu'au mois de janvier. En attendant, voici une petite photo pour vous donner un avant-goût de ce qui vient.


We're taking a slight break from our usual 15 Years On The Usual Route posts until the end beginning of January. In the meantime, enjoy this gem of a photograph showing what the shop used to look like. 

15 Years hiatus.jpg
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Merci à nos amis qui sont venus fêter Noël avec nous à la galerie, ce samedi dernier. Merci aussi à Nicky Raisinz qui nous a permis de célébrer jusqu'à tôt le dimanche matin, 2014 a été une année incroyable, mais on vous assure que 2015 sera encore plus formidable. 

Jetez un coup d'oeil aux photos que Tron a capturée lors de la soirée.


We held our Christmas party this past Saturday at the gallery, and the turn up was very real, thanks to Nicky Raisinz who held down the fort with some good tunes all night long. Thanks to all of our friends who came out to celebrate with us. 2014's been great, but here's to an even better 2015!

Take a look at some of the photos from the night, courtesy of Tron.

OTH XMAS 15
OTH XMAS 18
OTH XMAS 7
OTH XMAS 10
OTH XMAS 19
OTH XMAS 11
OTH XMAS 5
OTH XMAS 12
OTH XMAS 9
OTH XMAS 4
OTH XMAS 1
OTH XMAS 16
OTH XMAS 3
OTH XMAS 13
OTH XMAS 14
OTH XMAS 2
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MUNCHIES était en ville il y a quelques semaines pour visiter Montréal avec nos bons amis Chuck Hughes et Danny Smiles commes guides. Après avoir quitté Le Bremner, ils se sont rendus au Barocco et chez Maison Publique avant de prendre un verre au Mal Nécéssaire. On a eu la chance d'être au "after-party", où l'équipe du Bremner a préparé tout un repas pour notre dégustation. Jetez-y un coup d'œil!


MUNCHIES was in town a few weeks ago to explore Montreal with our good friends Chuck Hughes and Danny Smiles as guides. After leaving Le Bremner, Chuck and Danny brought MUNCHIES to Barocco and Maison Publique, before finishing off the night at Le Mal Nécéssaire. The guys were nice enough to invite us to Le Bremner for the after party, where they cooked up a feast of seafood and pasta. Delicious doesn't even begin to describe it. Check it out below!

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OTH New Slang Pack

Nous sommes contents d'introduire notre plus récente collection de t-shirts, réalisés avec le designer graphique Bartolomé Graziana. Intitulée le "New Slang Pack", la collection de trois t-shirts se voit inspirée d'expressions prises de la culture hip-hop et popularisées sur l'internet. 

 

De Urban Dictionary:

CUFFING SEASON: Pendant l'hiver et l'automne, les gens qui seraient d'habitude plus à l'aise touts seuls désirent s'attacher à une autre personne. Le temps froid et les activités intérieurs rend les gens à chercher un partenaire à qui s'attacher.

SO ICEY: Être plus "icey" qu'une personne normale. Avoir beaucoup de bijoux et avoir l'air d'un vrai G.

BURRR"BURRR" est ce que le rapper Gucci Mane dit plusieurs fois dans chaque chanson pour symboliser la quantité incroyable de "ice" sur ses bijoux. 

 

Les t-shirts de la nouvelle collection "New Slang" sont désormais disponibles à la boutique. 


We are happy to introduce our latest collection of graphic t-shirts, created in collaboration with graphic designer Bartolomé Graziana. Inspired by hip-hop slang that has been popularized on the internet, the collection of three t-shirts is appropriately called the "New Slang Pack". 

 

Via Urban Dictionary:

IT'S CUFFING SEASONDuring the Fall and Winter months people who would normally rather be single or promiscuous find themselves along with the rest of the world desiring to be "Cuffed" or tied down by a serious relationship. The cold weather and prolonged indoor activity causes singles to become lonely and desperate to be cuffed.

SO ICEYBeing more icey than the normal person. Having lots of ice and looking like a real G.

BURRRBURRR is what rapper Gucci Mane says after every line in order to symbolize the mad ice on his chain.

 

The t-shirts from the "New Slang Pack" are now available at the shop. 

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Ippudo Engineered Garments OTH

Ippudo est un des meilleurs restaurants de ramen à New York, qui depuis 2008, essaye de redéfinir comment les New Yorkais voient le met traditionnel asiatique. Avec l'énorme succès qu'Ippudo connait, le restaurant a décidé de créer un uniforme qui lui serait unique. 

Ippudo Engineered Garments OTH
Ippudo Engineered Garments OTH

Le chef d'opérations du restaurant, Yusuke Nakamura, s'est donc tourné vers Engineered Garments et Daiki Suzuki, le designer derrière la marque new yorkaise qui vient d'arriver chez OTH cette saison. Nakamura et Suzuki se sont rencontrés plusieurs fois pour trouver des designs qui fonctionneraient dans une cuisine.

Les résultats sont un tablier et un veston de travail, créés avec une toile légère, et des trous de ventilation sous les bras, pour permettre au cuisiniers d'être confortables lorsqu'ils sont au restaurant. De plus, comme chaque pièce créée par Engineered Garments, l'uniforme est fait à New York, dans la manufacture de Engineered Garments.

Toutes photos grâce à First We Feast et Justin Chung, qui ont photographier l'équipe d'Ippudo dans leurs nouveaux uniformes.

Ippudo Engineered Garments OTH
Ippudo Engineered Garments OTH

Ippudo is one of New York's finest ramen establishments. Since 2008, it has sought to redefine how New Yorkers have seen the traditional Asian dish. With the enormous success that Ippudo has had, the restaurant decided to create a uniform that would be unique to its hallowed kitchens. 

Ippudo Engineered Garments OTH
Ippudo Engineered Garments OTH

Yusuke Nakamura, the restaurant's Chief of Operations, turned to Daiki Suzuki, the man behind Engineered Garments, the New York-based brand that arrived for the first time at OTH this season. Nakamura and Suzki sat down together a number of times to hammer out the details and designs that would work within a kitchen setting.

The result is a two-piece uniform based around a tablier and a work jacket, created with lightweight twill fabric and ventilation under the arms, that allows staff to be comfortable when they're in the kitchen. Like every piece created by Suzuki and Engineered Garments, the uniforms are made in the Engineered Garments atelier in New York's Garment District.

All photos courtesy of First We Feast and Justin Chung, who took initiative and shot the Ippudo staff in their new uniforms.

Ippudo Engineered Garments OTH
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JFK OTH

Pour ceux qui ne le savent pas déjà, Johnny est une des personnes les plus importantes chez OTH. C'est notre chef d'opérations. Quand il n'est pas en train de gérer le jour à jour de la boutique, il écrit pour The Hundreds... et il a sa propre marque.... et il est cinéaste. Johnny est un des gars le plus intéressant et génial que tu pourrais avoir le plaisir de connaître. On s'est assis avec lui pour parler de ses divers projets, et du cheminement qu'il a fait dans le domaine créatif. Vous pouvez aussi lire son plus récent article sur The Hundreds, ainsi que voir ces réalisations cinématographiques! 


Depuis combien de temps travailles-tu chez OTH?
Ça fait environ 7 ans que je suis là, incluant l'année que j'ai pris en congé. 

Une journée typique pour toi, ça consiste en quoi, exactement?
Comme chef d'opérations, je m'occupe du Starship Enterprise. Dans le fond je m'assure que tout fonctionne bien, et que tout est complété dans un délai assez raisonnable.

Quels sont les projets que tu entreprends à l'extérieur de OTH?
Où commencer? Je suis toujours en train de travailler sur quelque chose. C'est pas nécessairement un projet mais il y a toujours un vidéo à faire ou à concevoir, ou sinon il y a du travail à faire pour Petite-Patrie, ma marque. Si jamais j'ai vraiment rien à faire, je fais une production d'une dizaine de t-shirts sous une marque qui n'existe même pas. Juste pour rigoler.

J'aime prendre les choses une à la fois. J'ai eu la chance d'apprendre plusieurs façons d'être créatif, donc je facilement choisir les projets que je veux entreprendre.

Que fais-tu pour te déconnecter du travail?
Je ne considère pas vraiment les projets que j'entame comme du travail, donc la plupart du temps je m'amuse déjà en "travaillant". À la fin de la journée, c'est ce qui compte le plus pour moi. Rester en forme c'est quand même un passe-temps important, par contre.

Cela dit, je joue souvent au jeux vidéos. Ça m'aide à me déconnecter du travail si jamais j'en ai besoin. GTA V sort bientôt, donc je crois que je vais passer l'hiver à Los Santos en train de de faire des drive bys, (rires).

C'est quoi ta passion, si tu devais en choisir une?
L'expérience que j'ai acquise depuis que j'ai commencé à travailler dans le domaine m'a fait apprécier la mode et le détail de plus en plus. J'ai pu comprendre les politiques d'arrière-plan et l'immense effort dédié au branding par les différentes marques. En sept ans, j'ai vu des marques grandir et évoluer, et j'en ai vu d'autres disparaître. Avec le temps, j'ai vu ce qui marchait pour la boutique et ce qui ne marchait pas. Tout cela me motive à faire un peu mieux à chaque jour, et ça me garde occupé aussi. J'adore ma job, je ne peux pas me plaindre.

Comment est-ce que SHOT BY JFK a commencé?
SHOT BY JFK a commencé environ un an après que j'ai commencé à travailler chez OTH. Un de mes a amis m'a convaincu de recommencer à faire de la vidéo. Il m'a appris énormément sur non seulement l'aspect technique de la cinématographie, mais aussi sur le côté esthétique. Merci JP!

Quand j'ai recommencé à filmer, c'était le début de l'ère DSLR. Donc c'était super facile de me trouver une caméra et d'aller filmer tout ce que je pouvait pour me perfectionner au fur et à mesure. J'ai commencé en documentant les petits trucs de tout les jours, ensuite je suis passé au portraits, et maintenant je fais de la mise-en-scène pour des vidéos.

Le nom SHOT BY JFK est juste un petit jeu de mots avec mes initiales et l'assassinat de J.F.K.

C'est quoi le projet le plus mémorable sur lequel t'as pu travailler?
Probablement quand j'ai eu la chance de faire une entrevue avec RZA à Berlin. C'était de pure chance pour être complètement honnête. J'étais en Allemagne pour Bread and Butter et j'ai croisé Pete, de Highsnobiety. Il avait besoin de quelqu'un pour filmer l'entrevue à la dernière minute. Bien sur j'ai dit oui. La journée de l'entrevue, il a été pris dans le traffic, donc j'ai du improviser le tout. J'étais un peu nerveux. Mais c'est quand même RZA! C'est pas à chaque jour qu'on a la chance de s'asseoir tout seule avec RZA pendant 30 minutes pour lui poser des questions. (rires)

Sur ce point là, comment as-tu pu travailler avec The Hundreds?
C'est grâce à Angelo, Graeme et Gary de Take Five Trading. Ils m'ont ouverts la porte et j'ai couru à travers.

J'ai toujours été un admirateur de ce que The Hundreds fait. J'ai un respect immense pour leur philosophie et leur idéologie. Les gens devraient apprendre à être aussi ouverts et honnête que eux. Pour moi, c'est plutôt une marque culturelle et non une marque de streetwear. Depuis le début ils ont réussi à maintenir leur image et ce sont rendus accessibles. Bobby et Ben, c'est des gars normales qui, par chance, font des trucs super cools. Même si tu ne portes pas leur vêtements, c'est dur ne pas apprécier ce qu'ils font.

Tout de même, je n'aurais jamais cru qu'un jour je ferais parti de leur monde. C'est vraiment un privilège pour moi d'avoir une plateforme ou je peux m'exprimer sur les choses que j'aime. Écrire pour The Hundreds, c'est un peu comme écrire pour la Gazette, parce qu'ils veulent que je prenne une approche plus journalistique. Il y a beaucoup de recherche à faire pour formuler les questions avant de m'asseoir avec quelqu'un. Jusqu'à présent, c'est super et je crois qu'ils aiment ce que je leur offre! Merci, Alina!

Depuis combien de temps écris-tu?
Depuis la maternelle. Au début, j'avais un peu de misère avec les lettres, mais avec le temps, je me suis améliorer peu à peu. (rires)

Sérieusement, j'avais un site, Derived Thread, il y a 4 ou 5 ans. J'écrivais tout seul au début. J'écrivais sur différentes marques, sur les choses que j'aimais, les choses que j'aimais moins, sur Montréal, et je faisais aussi des entrevues. Dans le fond, c'était ce que je ne pouvais pas mettre sur OTH. (rires)

Après un an, j'ai rajouté 4 ou 5 gars à l'équipe. Pour la plupart, c'était du monde que je connaissait grâce à la boutique et qui avait la approche que moi. Travailler sur ce site m'a aidé à améliorer mon écriture, parce que je cherchais toujours à écrire sur des trucs que les autres blogues ignoraient. Je voulais prendre une approche un peu plus approfondi. 

As-tu d'autres projets sur l'horizon?
Ouais, en fait je suis en train d'écrire mon premier court-métrage. C'est dur, parce que j'ai découvert que je suis un perfectionniste. (rires) J'ai une idée en tête, mais j'ai pas vraiment commencé. Ça viendra et ça sera super. 

Si quelqu'un voulais faire de quoi créatif dans la vie, que leur dirais-tu?
Comme Nike le dit si bien: Just Do It.

Fait le passionnément et reste humble quand tu connais du succès. Fais ce que tu fais pour toi-même, et seulement toi-même. Ne perds pas ton temps avec ce que les autres vont penser. N'hésite pas et donnes-toi pas de titre. Tout cela viendra après. Le plus important, pour moi, c'est de trouver ses propres idées. Ne vole jamais les idées ou les projets des autres. Soit créatif!

For those who don't already know, Johnny is one of the integral pieces of the Off The Hook team. As Chief of Operations, he makes sure that the shop runs smoothly from day-to-day. When he's not at the shop, he also contributes to The Hundreds... and runs his own brand... and directs movies. Johnny's one of those guys that always has a project up his sleeve. He's also one of the nicest and more interesting guys you'll have the pleasure of meeting. We sat down with him to discuss his many projects and how he's gotten to the point he's at today. You can also check out his latest piece for The Hundreds, as well as the short films he's produced

How long have you been at Off The Hook?
About 7 years now, including my 1 year hiatus.

What does a typical day consist of for you?
As Operations Manager, I make sure that the Starship Enterprise runs smoothly and that Captain Kirk and Spock aren't on my case. Pretty much, get shit done, and fast. Then it's on to the next one. Beam me up Scotty!

What are your side projects, hobbies, passions? If I wanted to be Johnny Kim, what would I have to do?
Where do I start (laughs). I always have something in the works; not necessarily projets, but there's either a video to shoot or direct, or I'm working on my brand Petite-Patrie, or I'll make a run of a few dozen t-shirt designs under a fake brand just for jokes.

I just take things as they come. I've had the chance to learn many ways to be creative that I can easily pick and choose what projects I want to work on.

As far as hobbies go, I call whatever project I'm working on a hobby. Most of the time I do it for fun and, for me, that's what really matters.

Staying in shape is also an important hobby (laughs).

But I do play a lot of video games to help me disconnect from everything. GTA V is coming out on PS4, so my hobby is gonna be killing people and doing driveways in Los Santos in the first person, all winter (laughs).

But seriously, I think the experience I've gained since I started working in this industry has made me love the real and fashion business more. Understanding the back end politics and all the branding that goes on behind the scenes. Seeing new brands develop and trends that come and go, dealing with numbers or seeing what works and doesn't work for the shop. All of those things help me keep busy, but they also motivate me to be better. I do love my job and I can't complain about anything.

How did SHOT BY JFK start? 
SHOT BY JFK started maybe a year or two after I had started working at Off The Hook.

A friend of mine got me back into filming and making videos back then. He taught me a lot on the technical side, but he also helped me discover the aesthetic aspect. He helped me experiment a lot with the camera. So thanks, JP!

But, when I started filming, it was the beginning of the DSLR video era. So it was easy for me to get a camera and just go shoot anything and learn as I went. I started by documenting everyday life, then made small portraits and now, I'm directing videos.

But I'm still in the process of learning everyday.

The name itself is a play on my initials and the JFK assassination. I just flipped it.

The most memorable moment was probably when I interviewed the RZA in Berlin. It was pure luck to be honest. I was there for Bread and Butter and I bumped into Pete from Highsnobiety. He needed someone to film the interview at the very last minute. On the day of the interview, he got stuck in traffic and wasn't able to make it on time. So pretty much, I had to improvise the whole thing. I was a bit nervous at first, I won't lie. Come, it's not everyday that you get stuck in a white room with the RZA for 30 minutes, asking him questions (laughs). Good times.

Building on that, how did you start contributing for The Hundreds?
Thanks to Angelo, Graeme and Gary from Take Five Trading. They built that bridge for me and I crossed it.

But, I've always been a fan of the Hundreds since the beginning. I respect the brand's philosophy and ideology. People should learn to be as open as The Hundreds. To me, they're more of a cultural brand than a streetwear brand. Since day one, they've maintained their image and made themselves (Bobby and Ben) accessible. They're regular dudes that happen to do cool things.

Even if you don't wear their clothes, you can't really hate on them. Before the industry became what it is today, The Hundreds was there; they played an important role in all of it.

But, I would've never thought that one day I would somehow be a part of their world. It's really a privilege that they give me a platform to speak about the things I like. Writing for them feels like writing for the Gazette. They want me to have a more journalistic approach. I do my research and build my questions accordingly.

It's really fun and I think they've been enjoying my write ups. Thanks Alina!

How long have you been writing?
Since kindergarten really. The first few years I had a hard time making my letters, but as the years went by I got better at writing out the alphabet (laughs).

I used to run a site called Derived Thread like 4-5 years ago. It was actually up for a good three years. I used to write alone at first; about brands, the things I like and hated, Montreal street culture, some interviews. It was basically the things I wasn't allowed to post on OTH (laughs).

Then, a year after, I added a crew of about 4-5 guys. It was mostly friends that I made around the shop and that had the same state of mind as me. That site helped me progress as a writer, because I was always looking to talk about the things no one talked about on the other blogs. I wanted to get a more insightful interview, than a broad approach.

Reading a lot also helps.

Any other projects on the horizon?
I'm actually trying to write my first short film. It's hard though, because I'm a perfectionist with every aspect. I have the idea down, but I haven't really started yet. It'll come though, and it'll be a great film.

ny advice for people who want to do creative in their careers?
Nike says it best: Just Do It.

Do it with passion and be humble about it. Don't let anything get to your head and never doubt yourself. Do it for you, only you and don't care about what others think. Don't half step. Don't become pretentious. Don't give yourself a title. And, most importantly, don't steal other people's designs and projects. Come up with your own ideas. Be creative. Ideas come and go.

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15 Years On The Usual Route

On s'était laissé au mois d'octobre 1999 à Brossard, où Harry venait tout juste d'ouvrir Off The Hook pour la première fois. Angelo était en Grèce à ce point, mais il restait en contact avec Harry tout de même et surveillait de près le projet de son cousin. 

Même après la grande ouverture, la boutique a connu un énorme succès à Brossard. Le magasin était occupé et les clients adoraient la philosophie de ce nouveau magasin centré sur la culture hip-hop. Entre Harry, qui était jeune est qui connaissait bien la culture, et ses partenaires d'affaires, qui s'assuraient que OTH avait les bons contact dans le domaine du hip-hop, la boutique a rapidement été reconnue comme l'une des destinations pour les fans de hip-hop à Montréal.

Lorsque Angelo est rentré de Grèce, Harry et lui se sont mis à penser à la prochaine étape pour le magasin. Harry avait le centre-ville dans le sang; même s'il avait toujours vécu à la Rive-Sud. De plus, à cette époque la culture hip-hop était profondément associée aux environnements urbains et aux centre-villes des grandes métropoles que ça soit Montréal, New York, Chicago, ou Los Angeles. 

Les gars se sont mis à évaluer les plus et les moins d'une boutique au Centre-Ville. Serait-il possible d'ouvrir un autre magasin centré sur la culture hip-hop? Il ne faut pas oublier que City Styles et Sports Fever étaient déjà installés sur Ste-Catherine en 2000. Même avec cette réalité, Harry et Angelo n'ont pas pu résister de prendre ce que le Centre-Ville leur offrait. Ils possédaient déjà alors une clientèle qui leur était fidèle et ils avaient le support des partenaires originaux de Harry, soit Perry et Rickey D.

Lentement, l'idée a commencé à prendre forme. La boutique à Brossard resterait ouverte pour le moment, mais Harry et Angelo se concentreraient sur la croissance de leur nouvelle adresse au Centre-Ville. En observant les autres magasins sur la rue Ste-Catherine, ils ont rapidement compris qu'un effort spécial serait requis; être un commerce centré sur la culture hip-hop ne serait pas assez pour différencier OTH des autres. Alors ils ont pris la décision d'approcher directement quelques marques qui ne se trouvaient pas encore chez les concurrents.  

En faisant affaire aveceux, Harry et Angelo ont appris l'importance d'avoir une exclusivité sur une marque, ainsi que de ne pas avoir peur de faire les choses différemment des autres boutiques. À ce jour, c'est une leçon qu'ils n'ont pas oubliée. Alors, quelques mois avant l'ouverture du 1021 Ste-Catherine, les gars ont fait le parcours de 600km vers le sud pour visiter New York.

Après quelques jours de rencontres avec diverses marques, ils avaient conclu des ententes avec quelques unes des marques de hip-hop les plus importantes dans le domaine. Notamment, Wu Wear et Rocawear qui accepter de mettre leurs produits chez OTH. De plus, ils ont obtenu des ententes exclusives avec quelques unes des marques qu'ils avaient déjà à Broassard, dont Akademiks, PNB Nation et Triple Five Soul. Ces avec ces exclusivités que OTH était devenu un joueur important dans la culture hip-hop. 

Le party d'ouverture de la fin de semaine de la Fête de Dollard marque le début de l'époque OTH comme on le connait aujourd'hui.

D'ailleurs, les dernières semaines nous on permis de vous faire une brève introduction au projet d'exploration de nos archives que nous avons entamé. Au cours des prochains mois, on souhaite vous faire découvrir notre univers. 

15 Years On The Usual Route

We last left off when the shop was just taking root in Brossard, where Harry had first opened Off The Hook with two business partners. Angelo was in Greece at the time, but was still keeping track of how Harry's project was evolving. 

It wasn't just the store's grand opening that was met with enthusiasm; the store was busy, customers were loving the young hip-hop centred store. Between Harry being young and in touch with the culture and his business partners making sure that the store had all the right connections in the hip-hop world, Off The Hook was quickly becoming the destination for Montreal hip-hop fans.

When Angelo got back from Greece, he sat down with Harry and the two started brainstorming about what the next step could be. Harry had always been a downtown kid; even if he had always lived on the South Shore, he grew up downtown. Similarly, whether it was in Montreal, New York, Chicago or Los Angeles, hip-hop was synonymous with downtown, urban environments. Hip-hop implied tall buildings and concrete, that's where the term concrete jungle comes from. 

The pair decided to start looking into opening up downtown. Was it possible to open another shop built around hip-hop culture in downtown Montreal? After all, Ste-Catherine was already home to City Styles and Sports Fever, to name a few. It didn't take long for Harry and Angelo to decide that they were going to move downtown. Everything made sense. They had support and a strong client base and the allure of downtown was too strong to resist. 

Slowly they started putting the pieces of the puzzle together. The Brossard location would stay open for the time being, but they would focus on building the downtown location and establishing Off The Hook with those who hadn't yet ventured to the South Shore. Glancing up and down the street, they knew that being a hip-hop store wouldn't be enough to make them stand out. Instead, they decided to take a risk that paid immediate dividends and something that's shaped Off The Hook since: deal directly with brands that other stores weren't stocking.

The success that Harry and Angelo enjoyed by dealing directly with brands in 2000 helped train them to seek exclusivity with brands and to stay ahead of the curve. A little while before the shop was scheduled to open at 1021 Ste-Catherine Ouest, the guys hopped in the car and made the 600km trip south to New York City. 

After a few days of meetings with various brands, they had secured deals directly with some of the premier hip-hop lifestyle brands at the time, including with some of the brands they had previously dealt with through a middleman. Akademiks, PNB Nation and Triple Five Soul, who were already at the Brossard shop, agreed to have their product at the downtown location. The trip to the Big Apple also netted Harry and Angelo the likes of Wu Wear and Rocawear. That was big time. 

The grand opening party on Victoria Day weekend of 2000 marks the beginning of Off The Hook as we know it today. The last few weeks have been an introduction to how the store came to be and how we installed ourselves downtown. Over the next few months, we're hoping to take you on a journey that lets you discover Off The Hook in all its glory. 

15 Years On The Usual Route
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OTH Opening 1

C'est étrange qu'une histoire à propos d'un magasin de vêtements sur la rue Ste-Catherine Ouest commencerait dans un restaurant sur la rue Taschereau, à Brossard. Par contre, c'est là où l'idée d'OTH est née. En 1999, Harry travaillait chez Fido, ainsi qu'Au Vieux Duluth sur Taschereau, où Angelo travaillait aussi. Le propriétaire du restaurant, Perry, était aussi un promoteur de concert. Parfois il venait voir Harry et Angelo et leur filait un CD. "Qu'en pensez-vous?" il leurs demandait, "Vous croyez qu'il attirerait du monde ici?" 

Plus le temps passait, plus Harry pensait à son futur. Il avait une idée en tête: d'ouvrir un magasin de vêtement. Il s'est donc assis avec Perry et son partenaire d'affaires et leur a expliqué son idée: pourquoi ne pas travailler ensemble pour créer un magasin qui servirait comme un one-stop shop pour tout ce qui était hip-hop à Montréal. Les albums, les billets de concerts, les affiches, et, bien sur, les vêtements; si ça faisait parti de la culture hip-hop, OTH l'aurait. Dès ces débuts, OTH c'est donc positionné comme étant plus qu'uniquement une boutique de vêtements, c'était une boutique qui réunissait les divers aspects d'un mode de vie. 

Avançons quelques mois, nous sommes au mois d'octobre, 1999. À quelques minutes du restaurant sur Taschereau, où l'idée d'OTH a pris naissance, un téléphone sonne. C'est Angelo, qui appelle de la Grèce, pour féliciter Harry sur l'ouverture et lui souhaiter bonne chance pour le lancement. Harry avait fait de son mieux pour enlever l'élément de chance, par contre, avec un effort de préparation énorme. Musique Plus, DJ Blast, et Sans Pression serait à la boutique, ainsi que A-Trak, qui, en 1995, à l'âge de 15 ans, avait captiver le monde de la musique et était considéré un phénomène dans les cercles DJs.

Même au lancement, la boutique réussissait à exister dans l'espace entre les vêtements, la culture, et les gens; la boutique avait une identité qui attirait les clients, ainsi que les A-Listers du hip-hop montréalais. Le public est sorti en grand nombre pour l'ouverture et pour profiter d'un concert dans la boutique, aussi qu'une session d'autographes avec les musiciens sur place. 

La liste de marques qu'OTH offrait à ses début, reflète son identité décidément urbaine et hip-hop à sa naissance. Des marques tels que Polo Sport, Triple 5 Soul, Johnny Blaze, Académies, RP55, et PNB Nation remplissaient les tablettes dans la boutique. Les tall tees, les gros sweats, et les jeans qui avait juste un peu trop de matériel constituaient l'uniforme hip-hop. Tenant compte de cela, OTH était le paradis pour tout fan de hip-hop montréalais. 

Même si le magasin était à Brossard, il avait un air urbain qui était fortement inspiré par le Centre-Ville. Lorsque Angelo est retourné de Grèce, Harry et lui se sont dévoué à la prochaine étape du project OTH: d'ouvrir une boutique au Centre-Ville. Dès la Fête de Dollard de l'an 2000, la boutique sera installé au sein du Golden Square Mile, au 1021 Ste-Catherine Ouest, l'espace qu'il occupe aujourd'hui. Mais on vous garde cette histoire pour la semaine prochaine.

OTH Opening 2
OTH Opening 4

Funny that a story about a clothing store on Ste-Catherine Ouest would start in a restaurant on Taschereau, in Brossard. Nevertheless, that's where Off The Hook originates. In 1999, Harry was working at the Fido call centre, and at Au Vieux-Duluth, where Angelo was also working. The owner of the restaurant, Perry, also had a business as a concert promoter. Every now and then he would swing by the restaurant with a CD for Harry and Angelo to listen to. "What do you guys think about him?" he would ask them, "Do you think he would be a good draw here?"

Around the same time, Harry was toying around with an idea: he wanted to open a clothing store. So, he sat down with Perry and his business partner and pitched them an idea: what if they opened a one-stop hip-hop shop together? Albums, tickets, clothes, posters, if it had to do with hip-hop, Off The Hook would have it. From its very beginning Off The Hook was about a lifestyle rather than just about clothes. 

Fast-forward a few months, it's October of 1999. A short drive from the restaurant on Taschereau, where the idea for Off The Hook first took root, a phone rings. On the other end was Angelo, calling from Greece to wish Harry luck on the first day. Not much luck was needed, though; a tremendous amount of planning and preparation had gone into launching the store. Musique Plus, DJ Blast and Sans Pression would be on hand, as would Montreal's DJ A-Trak, who, in 1995, at the age of 15, had captivated the world's attention and was considered to be a phenom in DJ circles.

Even at the launch, the shop succeeded in existing in a space between the clothes, culture and people; there was an aura around the shop that spoke to customers and those involved in Montreal's hip-hop scene. Customers came out in huge numbers to check out the new shop. They were treated to a live concert and an autograph session with some of their favourite artists, as well as the first Off The Hook t-shirt, which Harry is wearing in the photo.

As for the clothes, the brand list reflected the Off The Hook's identity at it's founding. Polo Sport, Triple 5 Soul, Johnny Blaze, Academiks, RP55, and PNB Nation stocked the shelves and racks. Tall tees, big hoodies and baggy jeans were hip-hop's uniform and stepping into Off The Hook was a Montreal hip-hop fan's dream come true. 

Even if the store was based in Brossard, it had a decidedly urban, downtown feel to it. When Angelo returned from Greece, he and Harry set their minds towards accomplishing the next step in their project: opening up a downtown location. By Victoria Day of 2000, Off The Hook would call 1021 Ste-Catherine Ouest home. But we'll save that story for next week. 

OTH Opening 3
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CSC Invitational OTH-4

Le Ringleaders FC a fait le voyage de 600km pour participer au deuxième tournoi sur invitation du Chinatown Soccer Club, qui a reçu des équipes de partout au monde, incluant le club vainqueur, les Soho Warriors de Londres. Merci pour l'accueil chaleureux et un magnifique tournoi, CSC!

Pour plus de photos, visitez la page Facebook du CSC.

CSC Invitational OTH-1
CSC Invitational OTH

Ringleaders FC once again made the 600km trip south to play in the Second Annual Chinatown Invitational, hosted by Chinatown Soccer Club. The tournament saw teams from around the world descend on New York for the weekend, including the winning club, London's Soho Warriors. Thanks for the warm welcome and a great tournament, CSC!

To see more pictures, check out CSC's Facebook page.

CSC Invitational OTH-2

En 1999, Harry et Angelo ont ouverts les portes d’OTH pour la première fois à Brossard; ce samedi dernier marquait officiellement 15 ans depuis l’ouverture de la boutique, ce qui correspondait au lancement du Vans OTH Varsity.

Il y a eu beaucoup de changement dans le monde, et chez OTH, depuis 1999. Les gens allait bientôt vivre la crise « Y2K »; Michael Jordan s’apprêtait à prendre sa deuxième retraite, avant de revenir quelques années plus tard; Lauryn Hill remportait l’honneur de l’album de l’année pour « The Miseducation of Lauryn Hill »; les Expos jouait toujours à Montréal. 

OTH a aussi connu du changement au cours des quinze dernières années. La boutique a quittée Brossard et la Rive-Sud pour s’installer au sein du Golden Square Mile sur la rue Sainte-Catherine. La boutique a aussi vécu une transition vestimentaire, allant des t-shirts XXXL à des marques comme Engineered Garments et Wood Wood. Parmi tout ces changements, une chose est demeuré constante : le lien entre OTH et la culture « street », ainsi que le mode de vie qui l’accompagne.

Nous avons toujours vu OTH comme plus qu’une boutique de vêtements. OTH existe dans l’espace entre la mode, la music, la culture « street », l’art, les sneakers et les gens qui entourent la boutique.

Pour fêter notre première décennie et demi, nous lançons une nouvelle série, intitulée 15 Years on the Usual Route, qui visera de célébrer et de raconter l’histoire d’OTH au cours de la prochaine année.

Nous débutons la série avec l’histoire de l’ouverture de la boutique à Brossard en 1999 et comment l’idée d’ouvrir une boutique est venu à Harry et Angelo. La première partie sera en ligne jeudi prochain, avec des photos de la boutique dans ces premiers jours! 


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In 1999, Harry and Angelo opened Off The Hook for the first time in Brossard; in fact, this past Saturday officially marked 15 years since Off The Hook first opened, which happened to coincide with the release of the Vans OTH Varsity.

A lot has changed since 1999. People had yet to “live through” Y2K; Michael Jordan was about to retire for the second time, before coming back a few years later; Lauryn Hill won Album of the Year at the Grammys for the “The Miseducation of Lauryn Hill”; the Expos were still playing in Montreal.

Off The Hook has seen its share of changes, too: it’s survived the transition from Brossard and the South Shore, to Sainte-Catherine street and the Golden Square Mile and moved from XXXL tees to brands like Engineered Garments and Wood Wood. One thing that’s stayed constant throughout the 15 years, though, is the relationship the store has had with street culture and the accompanying lifestyle.

We’ve always seen OTH as more than just a clothing store. It exists in the space between street culture, clothing, sneakers, art, music and people.

To commemorate 15 years of Off The Hook, we’re launching a new series, called 15 Years on the Usual Route, which will look back on the store’s history, both known and unknown.

We’re kicking off the series with a look at Off The Hook’s grand opening in 1999 and how the idea for the store first came about. The entire story will be online next Thursday, complete with pictures from Off The Hook in its infancy. 

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Si vous n'avez pas déjà vu le vidéo #throughglass de FKA twigs, prenez 2 minutes pour le regarder en bas. C'est un vidéo conceptuel, partiellement filmé via Google Glass et produit en conjonction avec Google. Le vidéo démontre encore une fois que FKA twigs est toujours en train de créer de quoi pour capter notre attention et met en évidence le potentiel créatif de Google Glass. 

If you haven't already watched the #throughglass video by FKA twigs, take a few minutes to check it out above. #throughglass is a conceptual film partially filmed via Google Glass and produced in partnership with Google. Not only does FKA twigs once again show us that she's always creating something new to grab our attention, #throughglass is a cool way of showcasing the creative potential of Google Glass.

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Nous avons demandé à l'artiste Montréalais Tyson Bodnarchuk, fortement inspiré des films de monstres et des bandes dessinées, de créer le board pour le temps de l'Halloween dans l'espace Vans.

C'est la troisième fois que Tyson travaille avec OTH pour créer le board. Pour en savoir plus sur l'artiste lisez l'entrevue qu'il nous a accordée lors de la création du boardthème Star Wars. Surtout, n'oubliez pas de passer en magasin pour voir le produit final!

This year, for Halloween, we asked Montreal-based artist Tyson Bodnarchuk, who is heavily inspired by monster movies and comic books, to create the board in our Vans OTH space. 

It's the third time that we've had Tyson work with us to create the board. To learn more about Tyson and his work, read our interview with him from when he created a Star Wars-themed board in May. Don't forget to stop by the shop to check out the finished project!

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Categoriesoth, Lifestyle

Il y a moins de deux semaines, nous avons voyagé jusqu'à Toronto pour rencontrer nos amis de Obey.

Mis à part quelques événements Hennessy, nous avons eu la chance de voir l'artiste de rue Shepard Fairey et son équipe concevoir deux murales alors qu'ils étaient en ville. La première été peinturée sur les murs de Tattoo (567 Queen West) et la deuxième à l'arrière du Gladstone Hotel (1214 Queen Street). 

Voyez quelques photos de leurs oeuvres ci-dessous!


Less than two weeks ago, we travelled all the way to Toronto in order to meet up with our friends from Obey

Other than having fun at a few Hennessy events, we had the chance to see street artist Shepard Fairey and his team make two murals while they were in town. The first one was painted on the walls of Tattoo (567 Queen West) and the second one on the back of the Gladstone Hotel (1214 Queen Street). 

Check out a few pictures of their artwork below!

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